François, premier pape « écolo » et ardent défenseur de la « maison commune »

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Le pape François verse de la terre au pied d’un olivier qui sera planté dans les jardins du Vatican, avant de s’adresser à la réunion « Foi et science : vers la COP26 », au Vatican, le 4 octobre 2021.

Avec la disparition du pape François, lundi 21 avril, c’est un grand défenseur de l’écologie qui meurt. Jorge Mario Bergoglio, de son nom de naissance, a pavé son pontificat d’appels à l’urgente sauvegarde de la planète. Ce qui lui vaut aujourd’hui un hommage de plusieurs responsables politiques sur ce point.

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Tout juste réélue patronne des Ecologistes, Marine Tondelier a affirmé sur X qu’il « avait mieux compris l’écologie et la génération climat que beaucoup de politiques », quand la maire de Paris, Anne Hidalgo, a rappelé pour sa part que François avait su placer « l’écologie au centre des préoccupations spirituelles et sociales ».

Au sein de l’Eglise française aussi, le regard que le souverain pontife portait sur la destruction de la planète et de sa biodiversité est souligné dans les hommages prononcés. Dans son communiqué, le président de la Conférence des évêques de France, Eric de Moulins Beaufort, rappelle que « face à la crise écologique, il a renouvelé la réflexion en invitant à soigner “la maison commune”, à louer le Créateur, à unir attention à l’environnement et attention aux personnes victimes des injustices sociales ».

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