
Tous derrière David Sacks. Quand un long article du New York Times, publié dimanche 30 novembre, a fait l’inventaire des confits d’intérêts de l’investisseur de 53 ans, conseiller spécial du président américain, Donald Trump, sur les cryptomonnaies et sur l’intelligence artificielle (IA), les « tech bros », les patrons de la Silicon Valley, ont fait bloc pour défendre celui qui a accéléré la bascule de Donald Trump en faveur de l’IA.
« David Sacks maîtrise parfaitement l’IA et tient à ce que les Etats-Unis restent à la pointe de l’innovation. Je suis ravi que nous l’ayons parmi nous », salue Sam Altman, patron d’OpenAI, l’inventeur du robot ChatGPT. « La façon dont le New York Times déforme le leadership de David Sacks n’est pas du journalisme, c’est presque du sabotage stratégique. L’Amérique gagnera ce siècle en soutenant les bâtisseurs, et non en les détruisant », accuse Marc Benioff, patron fondateur de l’éditeur de logiciels américains Salesforce. « David Sacks nous ramène à l’époque où les citoyens les plus compétents du secteur privé s’engageaient bénévolement au service de l’Etat, en temps de crise, pour un dollar par jour. Nous avons besoin de plus de personnes comme lui, et non de moins », salue Marc Andreessen, cofondateur de la société de capital-investissement Andreessen Horowitz. « Absolument », approuve Elon Musk, le patron de Tesla et de SpaceX.
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