« Je ne voulais pas laisser mon bébé pleurer »

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Le sommeil des bébés est multiphasique, avec de nombreuses siestes sur vingt-quatre heures, avant de prendre, petit à petit, une prédominance nocturne dès 4 à 6 mois.

Les yeux cernés, les nerfs à vif, les parents de jeunes enfants sont inondés de conseils parfois contradictoires pour endormir leur enfant. Désemparés, certains font appel à un tiers, comme des coachs en sommeil, pour trouver le répit nocturne. Sur le compte Instagram du magazine Parents, une mère témoigne ainsi de son expérience : « Notre fille, à 7 mois, ne faisait toujours pas ses nuits. (…) On avait besoin d’une tétine, de l’emmailloter, ça prenait un temps infini… »

Après consultation, une coach leur propose un suivi sur deux semaines et un « plan sommeil ». L’idée : accompagner leur fille, sans la bercer jusqu’à endormissement, en la rassurant, puis en réduisant petit à petit leurs interventions. « Aujourd’hui, on pose notre fille dans son lit, dans le noir. Ça paraît bête, mais ça a marché », se réjouit la mère. Dans les commentaires, les avis divergent. Le cœur de la discorde ? L’initiation à l’endormissement autonome, sans bercer ou nourrir le bébé jusqu’au sommeil, quitte à le laisser pleurer. Dressage pour les uns, étape nécessaire pour d’autres.

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